Dire de bonnes choses sur le déjeuner scolaire n’a jamais été à la mode, mais les changements récents semblent avoir provoqué plus d’inquiétude que d’habitude. J’ai publié un blog sur les changements dans les repas scolaires le mois dernier. Les réponses m’ont incité à enquêter davantage sur la situation en déjeunant dans troisécoles – une urbaine, une suburbaine et une rurale. La première étape (et peut-être la plus délicate) a été de demander à mes nièces de me laisser manger avec elles. Après quelques discussions et discussions avec des amis, ils ont accepté. Une collègue m’a fait entrer dans la troisième école pour manger avec son fils et ses amis.

Jetez un coup d’œil à un tableau comparatif de ce que j’ai observé sur les choix de menus, les coûts, la sécurité et la supervision, le temps de manger, etc. ainsi que des photos de mes déjeuners.

La santé des enfants est importante pour tout le monde – parents, USDA, écoles, gestionnaires de repas scolaires, parents, etc. Cependant, nous avons tous un point de vue différent, de l’USDA, qui a élaboré des politiques de programme en utilisant les dernières informations scientifiques sur la nutrition, aux parents qui tentent de répondre aux désirs et aux besoins de leur enfant avec un budget familial.

Beaucoup de choses ont changé au cours des 15 années écoulées depuis la mise à jour de la réglementation sur les repas scolaires. Maintenant, les déjeuners scolaires correspondent aux directives diététiques de 2010 : la moitié des aliments dans l’assiette sont des fruits et des légumes, les grains entiers ont augmenté et le lait est faible en gras ou sans gras. Les portions sont modérées. Les condiments, qui peuvent être riches en sodium, sont limités.

Mon plateau repas… Je n’aimais pas le maïs à la crème ou la salade de fruits à la noix de coco, donc mes options de menu étaient un peu limitées.

Les repas que j’ai mangés à l’école étaient plutôt bons et peu coûteux (j’ai payé environ 3 $). Chaque repas contenait une source de protéines, des fruits, des légumes, du lait et des céréales (sauf le repas qui manquait de muffins au maïs). J’ai trouvé que le pain au fromage avec sauce marinara était excellent, le chili et les épinards frais avaient bon goût et le cantaloup était à peu près le meilleur que j’ai eu cet été. Le poisson avait bon goût, mais comme je n’aime pas le maïs à la crème ou la salade de fruits à la noix de coco, je n’ai pris ni l’un ni l’autre. Mon repas était un peu limité ce jour-là.

Toutes les écoles servaient 3 à 4 fruits et légumes différents, dont au moins un qui était frais. Nous nous sommes servis des fruits et des légumes, ce qui signifie que nous pouvions prendre plus de quelque chose que nous aimions. Les enfants avec qui je mangeais et qui ne mangeaient pas de fruits ou de légumes avaient moins à manger. Je pense que les parents pourraient aider en servant plus de fruits et légumes à la maison. Manger des fruits et légumes sous quelque forme que ce soit est ce qui est important – peu importe qu’ils soient frais, surgelés ou en conserve ; ou qu’il soit biologique, conventionnel ou local. Il faut un certain temps pour s’habituer aux nouveaux aliments.

L’une des plaintes concernant le nouveau déjeuner scolaire est que les portions ne sont pas assez grandes (plus sur ce sujet dans le blog de la semaine prochaine). Si votre enfant vous dit qu’il a faim, la première chose à faire est de s’assurer qu’il prend son petit-déjeuner. Cette année, le ministère de l’Éducation de l’Iowa et Midwest Dairy s’associent pour lancer un défi de petit-déjeuner scolaire afin d’augmenter de 20 % la participation quotidienne aux petits déjeuners scolaires.

J’aimais déjeuner à l’école avec mes nièces et le fils de ma collègue. C’était amusant de voir les enfants interagir avec leurs amis et de mieux comprendre l’agitation du collège.

Restez à l’écoute… la semaine prochaine, je bloguerai sur les options à la carte et sur le fait de manger suffisamment.